Les organes génitaux
De nombreuses maladies différentes peuvent affecter la région génitale, qui sont principalement des maladies sexuellement transmissibles telles que la syphilis, la gonorrhée (gonorrhée), la chlamydia, le condylome (condylome acuminé), des infections fongiques, des infections par le papillomavirus humain ou l'herpèsvirus. Cependant, les inflammations non infectieuses, telles que l'acornite ou la balanite ou l'inflammation de la vulve (vulvite) font partie des symptômes possibles dans la région pubienne. En outre, certains parasites, tels que les poux du pubis, affectent préférentiellement la région génitale. Enfin et surtout, des cancers des organes génitaux externes, tels que des carcinomes du pénis ou des cancers de la vulve.
Les maladies de la région pubienne sont souvent associées à une irritation de la peau et à un pénis qui démange ou au syndrome de Scheuchjucken. De plus, il y a souvent un écoulement accru du vagin ou un écoulement de sécrétion du pénis, ce qui parle d'une atteinte simultanée des organes génitaux internes. À l'aide d'un frottis de laboratoire, de nombreuses formes de maladies infectieuses affectant la région génitale peuvent être déterminées de manière relativement fiable. Les analyses de sang fournissent également des informations importantes sur les maladies infectieuses existantes. D'autres maladies, telles que l'inflammation non infectieuse, sont principalement identifiées sur la base du tableau clinique. Des procédures d'imagerie telles que l'échographie, les rayons X ou la tomodensitométrie sont utilisées, par exemple, pour détecter les modifications malignes des tissus, bien qu'il ne soit pas rare de demander le prélèvement d'un échantillon de tissu (biopsie) pour une détermination non ambiguë..
Pour la plupart des maladies des organes génitaux externes, la médecine moderne a une réponse thérapeutique prête pour un traitement réussi. Cependant, le traitement au stade avancé de la maladie s’avère généralement beaucoup plus difficile, ce qui fait que les retards dans le diagnostic, souvent causés par la honte, apparaissent particulièrement problématiques. En cas de plainte dans la zone publique, une assistance médicale générale doit être demandée dans les meilleurs délais, notamment pour éviter un transfert aux partenaires sexuels. (Fp)