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Signes d'accident vasculaire cérébral et thérapie
La plupart des personnes atteintes sont âgées de plus de soixante ans. Cependant, cette maladie potentiellement mortelle peut toucher des personnes plus jeunes, même des enfants et des nouveau-nés.
contenu
- Comment se développe un accident vasculaire cérébral
- les causes
- les facteurs de risque
- symptômes
- Accident vasculaire cérébral - hémiparésie droite
- les signaux d'avertissement
- diagnostic
- Symptômes de l'AVC suggèrent
- AVC avec ses conséquences
- Département spécial de l'unité d'ACV
- thérapie
Comment se développe un accident vasculaire cérébral
Dans la plupart des cas, l’ischémie cérébrale (apport sanguin épuisé) en est la cause sous-jacente, ce qui provoque la détérioration du tissu insuffisamment fourni et la diminution ou l’absence de délivrance..
les causes
La cause principale, à environ quatre-vingt-cinq pour cent, est un vaisseau égaré, ce qui entraîne une diminution du flux sanguin et le tissu ultérieur ne peut pas être soigné correctement. Cette zone meurt et ne peut plus remplir ses tâches. La raison de la relocalisation est généralement une artériosclérose sous-jacente (artériosclérose), ce qui signifie qu'il y a des dépôts de graisse, de tissu conjonctif, de thrombus et de calcaire dans les vaisseaux. Ceux-ci deviennent de plus en plus confluents, formant une greffe dans le pire des cas, qui obstrue un vaisseau dans le cerveau lors d'un accident vasculaire cérébral..
Des caillots sanguins dans le cerveau entraînent un accident vasculaire cérébral. Image: www.fotolia.com © psdesign1 Les caillots sanguins, par exemple de l'artère carotide, peuvent se détacher, atteindre le cerveau par la circulation sanguine, y déposer un vaisseau et ainsi déclencher une apoplexie. Un embole (greffe vasculaire) du cœur, provoqué par exemple par une fibrillation auriculaire (arythmie cardiaque avec événements auriculaires non coordonnés), peut entraîner le transfert d'une veine cérébrale..
Moins fréquemment, environ quinze pour cent des accidents vasculaires cérébraux sont dus à une hémorragie intracérébrale.
les facteurs de risque
Différents risques peuvent favoriser un infarctus cérébral, en distinguant "insulte blanche" et "insulte rouge". "L'insulte blanche" obstrue une artère cérébrale, provoquant ainsi une insuffisance de l'alimentation de la région affectée et la mort. Les facteurs de risque en sont l'hypertension (hypertension), le tabagisme, le diabète sucré, les troubles du métabolisme lipidique et la prise de la pilule. L'hypertension est le principal risque d'une "insulte rouge", c'est-à-dire d'une hémorragie cérébrale..
L'obésité est également associée à une augmentation du risque d'accident vasculaire cérébral. En outre, un âge plus élevé doit être évalué en tant que facteur de risque.
symptômes
Les symptômes sont très variés et dépendent de la zone touchée et de son étendue. La perte soudaine de diverses fonctions cérébrales est typique, en fonction de l'artère cérébrale touchée. L'apparition soudaine de symptômes tels que des angles de la bouche tombants, des problèmes de vision ou d'élocution, des difficultés de marche, une paralysie ou un mal de tête massif, des vertiges, un hoquet, un essoufflement, des nausées et des vomissements fait partie des signes. Ces symptômes ne conduisent pas nécessairement à un accident vasculaire cérébral, mais peuvent faire office de précurseurs. Cependant, un médecin urgentiste doit absolument s'appeler.
La forme la plus courante est l’infarctus du Cerebri. Cela se traduit par une hémiparésie incomplète, voire complète, mais c'est rarement le cas. Cependant, il peut arriver que le patient affecté se réveille le matin sans pouvoir se lever. L'hémiplégie est généralement obstruée, associée à une paralysie faciale (paralysie du nerf facial qui fournit des parties du visage). Des semaines initialement flasques se développent une paralysie spastique. Bien que les personnes atteintes souffrent généralement d'hémiplégie incomplète, on les appelle souvent hémiplégiques (hémiplégiques)..
Les troubles de la sensibilité associés à une apoplexie comprennent, par exemple, un engourdissement, des "fourmis courantes" et des fourmillements dans les membres. Si l'insulte ferme l'artère cérébrale gauche, l'aphasie survient. Ceux-ci incluent des troubles de la compréhension de la parole et / ou de la parole. Une apraxie est mentionnée lorsque les personnes affectées ne peuvent plus effectuer certaines actions, telles que le peignage, bien qu'il n'y ait pas de paralysie et aussi une perception normale. Voir aussi:
- Symptômes de l'aphasie
- Troubles de la parole aphasie
- Traitements d'aphasie
Une incontinence urinaire ou un comportement urinaire peuvent survenir, ainsi qu'un assombrissement de la conscience jusqu'à la perte de conscience d'un jour. La confusion associée à la désorientation est également l'un des symptômes possibles.
Lorsque le trajet pyramidal descendant et les voies sensorielles ascendantes se croisent, le côté gauche du corps et vice-versa sont affectés en cas d'attaque de l'artère droite. Par exemple, un accident vasculaire cérébral du côté droit entraîne une hémiplégie du côté gauche et les troubles sensibles associés, ainsi que le côté gauche..
Si la circulation du tissu affecté est perturbée si longtemps que la région meurt complètement, les dommages neurologiques sont irréversibles..
Accident vasculaire cérébral - hémiparésie droite
Lors d'un accident vasculaire cérébral avec hémiparésie droite, les symptômes suivants peuvent apparaître. Les personnes touchées souffrent de paralysie faciale. Cela crée un coin de la bouche tombant, et souvent la bouche ne peut pas être correctement fermée et il est donc difficile de boire. Le froncement de sourcils du côté affecté ne fonctionne pas ou seulement partiellement. De même, la fermeture des paupières est obstruée. Il existe également des symptômes tels qu'une épaule tirée vers l'intérieur, un bras tourné vers l'intérieur et un coude en posture de flexion. De même, les doigts sont pliés et le pouce levé. En marchant, la jambe est conduite en avant en demi-cercle. Selon l’ampleur et la gravité des symptômes mentionnés, l’apparition est plus ou moins prononcée.
les signaux d'avertissement
Les soi-disant TIA ou PRIND sont des signaux d'avertissement. Le TIA - Attack Ischemic Attack (attaque ischémique transitoire) est le signe prédominant de l'infarctus du cerveau. Ce sont des déficits neurologiques qui ne durent que quelques minutes ou ont complètement disparu en moins de 24 heures. A PRIND - Un déficit neurologique ischémique prolongé est également un signal d’avertissement qui, toutefois, se développe plus lentement que l’AIT et prend également plus de temps - entre 24 heures et trois semaines - à régresser complètement..
Les troubles visuels dans un œil, qui ne durent que quelques minutes, ou la paralysie à court terme sont des exemples de ce que l’on appelle l’AIT. Malheureusement, cela n'est souvent pas perçu comme un avertissement, mais comme une banalité. Cependant, si cela est pris au sérieux, il peut être évité par un traitement approprié, éventuellement chirurgical, par un infarctus cérébral..
diagnostic
Si suspecté, chaque minute compte. Le patient doit se rendre immédiatement dans une clinique. Le succès du traitement dépend en grande partie d'un diagnostic rapide et correct suivi d'un traitement.
Après une histoire détaillée du patient, souvent en liaison avec la famille, et une vérification des réflexes, une enquête plus approfondie est nécessaire. Avec l'aide de la tomodensitométrie, le cerveau peut être affiché en couches. Un agent de contraste permet la représentation des vaisseaux sanguins. Ainsi, l'emplacement de l'incident est indiqué, mais vous pouvez également voir la cause, telle qu'un saignement ou une occlusion vasculaire. Dans certaines cliniques, l'IRM est préférable. Cette méthode fonctionne sans rayons X, ce qui permet une utilisation plus fréquente. Cependant, les patients qui ont des parties métalliques ou un stimulateur cardiaque dans le corps ne peuvent pas être examinés par IRM.
Des examens par ultrasons spéciaux, tels que la sonographie en duplex, sont utilisés pour créer des images du cerveau et ainsi mesurer le flux sanguin. Surtout avec des troubles circulatoires, c'est une méthode d'examen appropriée. Un ECG normal ou à long terme peut présenter des irrégularités telles que la fibrillation auriculaire. Il n'est pas rare qu'ils soient les déclencheurs. Mais d'autres maladies du coeur, telles que des défauts de valvule, peuvent être découvertes ici.
Bien sûr, un test sanguin détaillé fait partie du portefeuille d'un diagnostic d'accident vasculaire cérébral.
Symptômes de l'AVC suggèrent
Si la suspicion doit être agi rapidement. Grâce à de simples tests, même les non-initiés peuvent rapidement évaluer correctement la situation et attribuer les symptômes plus facilement. Les symptômes que tout le monde peut reconnaître comprennent un coin soudain de la bouche, des difficultés d'élocution ou l'incapacité de parler. En outre, les personnes concernées se plaignent d’engourdissements, de difficultés à avaler, de problèmes de vision ou de troubles de la motricité des mains ou des pieds, le soupçon est proche..
Les personnes affectées devraient être encouragées à sourire. Ce n'est généralement pas possible avec une paralysie à moitié facette et le patient a des problèmes d'expressions faciales et fait une grimace. De plus, lever les bras avec les paumes tournées vers le haut ne fonctionnerait pas correctement en cas de paralysie causée par un coup de cerveau. Le bras affecté se retournerait à nouveau et coulerait. Lorsqu'on demande à la personne de parler une phrase très simple, celle-ci est souvent associée à des problèmes. Les personnes touchées peuvent parler très lentement, en s'arrêtant, en se lavant ou en tordant les mots. Cela ne se produit pas nécessairement, mais on le trouve souvent dans les cas d'AVC aigu. Ces tests sont abrégés en lettres FAST (visage, bras, parole, temps - visage - bras - langage - temps). Si le patient a de la difficulté à effectuer l'un de ces exercices simples, le temps compte. Plus le médecin d'urgence est informé rapidement, meilleures sont les chances de guérison. Il est également important de communiquer au téléphone les soupçons d'un accident vasculaire cérébral.
AVC avec ses conséquences
Un accident vasculaire cérébral ne doit pas nécessairement être obligatoire, mais il peut avoir des conséquences sur votre vie future. L'accident vasculaire cérébral est la cause la plus courante des soins de longue durée. Les conséquences sont très individuelles. Il s'agit notamment de l'hémiparésie (hémiplégie), associée à des troubles sensoriels, des troubles de la parole (aphasie), de la dyslexie (dysarthrie), de la dysphagie, de l'incontinence, de la difficulté à se concentrer et à une vision floue. Sous Négligence, le médecin comprend les troubles de l'attention qui affectent un côté du corps et la moitié de l'environnement. Par exemple, les personnes touchées ne mangent que la moitié de leurs assiettes, ne rasent que la moitié de leurs visages et ne perçoivent pas leur environnement du côté touché..
Des examens en temps opportun peuvent prévenir un accident vasculaire cérébral. (Image: Henrie / fotolia) Département spécial de l'unité d'ACV
Une unité d'AVC est un service spécial pour les patients victimes d'un AVC. Il s’agit d’une unité de soins actifs dans un hôpital où une surveillance complète de l’équipement est assurée. Des procédures diagnostiques et thérapeutiques spéciales adaptées aux patients atteints d’apoplexie sont incluses, ce qui donne aux patients un meilleur pronostic de récupération que le traitement en salle commune. Malheureusement, tous les hôpitaux n’ont pas une telle unité.
thérapie
Il commence par stabiliser les signes et paramètres vitaux tels que la pression artérielle, la fréquence cardiaque, la glycémie, la saturation en oxygène, le contenu en électrolytes et la température corporelle. Les procédures de diagnostic rapides, telles que le scanner ou l'IRM, déterminent où et dans quelle mesure l'accident vasculaire cérébral survient. Afin de préserver la zone mal desservie et d'éliminer l'occlusion résultante, un traitement appelé lyse intraveineuse est initié. Plus le diagnostic est posé rapidement, plus vite ce traitement réussira. Les zones touchées du cerveau sont pénétrées au moyen de cathéters afin de permettre la dissolution locale du caillot sanguin. Cependant, cette thérapie n'est possible que dans des centres spécialisés. L'hémorragie cérébrale n'utilise pas de traitement de lyse. Ici est souvent traitée chirurgicalement. Un soulagement de la pression intracrânienne est important ici. (Sw)