Médecin en chef de la Charité soupçonné de corruption

Médecin en chef de la Charité soupçonné de corruption / Nouvelles sur la santé

Charité de Berlin: Enquêtes à l'encontre d'un médecin de haut rang pour corruption

26/03/2014

Contre un ancien médecin de la Charité de Berlin est déterminé à la corruption. Il aurait reçu des cadeaux d'un pharmacien et aurait en retour envoyé ses patients chez le pharmacien. Aussi contre le pharmacien est déterminé.

Enquêtes contre un médecin et un pharmacien
Selon de nombreux articles de presse, un médecin de la charité berlinoise est déterminé à se corrompre. Il aurait orienté ses patients vers une pharmacie du district de Prenzlauer Berg afin d'y acheter des médicaments anticancéreux coûteux. En retour, il a reçu de coûteux cadeaux de pots-de-vin. Il y a quelques jours, le bureau du médecin sur le campus, des résidences privées, un bureau des impôts et la pharmacie présumée ont été fouillés. L'accusation ouvre une enquête contre le médecin et le pharmacien pour corruption.

Des cadeaux d'une valeur de plusieurs milliers d'euros
Pendant des années, le pharmacien aurait payé au médecin du matériel de bureau électronique, tel que des projecteurs, d’une valeur de plusieurs dizaines de milliers d’euros. Au cours des perquisitions, de nombreuses preuves avaient été fournies par la police. Selon des informations parues dans la presse, l'accord aurait été conclu après que le pharmacien ait voulu déduire de la taxe les pots-de-vin pour le matériel de bureau. Le bureau des impôts responsable était devenu méfiant à cause des récépissés de dons et a informé le pouvoir judiciaire. Un porte-parole de la Charité a confirmé l'enquête et déclaré que le procureur soutenait et coopérait pleinement.

Les médecins collectent les captures
Encore et encore, les autorités sont actives à cause de la corruption ou de la suspicion. En 2012, par exemple, des poursuites judiciaires contre des cancérologues, des pharmaciens et des fabricants de produits pharmaceutiques ont été lancées dans tout le pays. Les oncologues ont ensuite été accusés de recevoir des frais pour la prescription de certains médicaments anticancéreux. La même année, une étude commandée par l’association nationale d’assurance maladie obligatoire a révélé que de nombreux médecins „primes Fang“ transférer des patients vers certaines cliniques ou certains collègues. Des allégations similaires avaient été faites des années auparavant. (Sb)