L'aide peut payer pour l'examen chromosomique

L'aide peut payer pour l'examen chromosomique / Nouvelles sur la santé
VG Karlsruhe: Gentest sert à prévenir les maladies
Karlsruhe (jur). L'aide doit être utilisée pour financer un examen chromosomique au cas par cas d'un défaut génétique d'origine familiale chez les fonctionnaires ou leurs conjoints. Parce que l'enquête peut servir à la prévention des maladies, afin que cela soit éligible, a décidé le tribunal administratif de Karlsruhe le jeudi 7 avril. 2016, arrêt publié (Az.: 9 K 600/15).


Dans le cas d'espèce, le demandeur ayant droit à l'aide avait demandé à l'Office national des salaires et du bien-être du Bade-Wurtemberg de prendre en charge 50% des frais d'un examen au chromosome, pour un total de 416,81 euros. Elle avait justifié sa demande par une anomalie génétique familiale, qui ne devait pas nécessairement être nocive pour la santé, mais pouvait entraîner des malformations graves et des handicaps chez les enfants..

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Toutefois, la subvention a été refusée car l’enquête n’est pas directement liée au traitement ou au soulagement d’une maladie ou d’une condition existante. Seules ces dépenses sont éligibles, ce qui est survenu à l'occasion d'une maladie, donc de l'autorité. Ici, cependant, le demandeur est en bonne santé. L'enquête n'a pas été basée sur les soins de santé de chacun, mais sur la détection précoce d'une éventuelle anomalie génétique lors de grossesses ultérieures..

Le requérant permit néanmoins que l'enquête soit menée. Le défaut génétique a finalement été détecté en elle. Au tribunal, elle a voulu engager l'aide pour la moitié du coût.

A juste titre, comme l'a décidé le tribunal administratif dans son arrêt du 29 janvier 2016. Bien que l'examen chromosomique n'ait pas servi à diagnostiquer ou à guérir et à soulager une maladie. Le défaut génétique en tant que tel n'est pas une maladie, d'autant plus que la demanderesse se sent elle-même en bonne santé. Il est vrai que l'aide doit intervenir si la santé d'un enfant est menacée. Au moment de l'enquête, cependant, aucun enfant n'avait été conçu.

Toutefois, l'aide doit permettre aux services médicaux ambulatoires, s'ils sont nécessaires, d'empêcher ou d'empêcher leur aggravation. Ici, un défaut génétique fréquent chez la famille pour les maladies graves était présent. La connaissance de cette anomalie génétique sert à prévenir d'autres maladies évidentes du demandeur. Ainsi, il existe un risque accru de fausse couche en raison d'un défaut génétique ainsi que du stress mental causé par la naissance d'un enfant gravement handicapé. Le demandeur a donc droit aux 416,81 euros demandés. (FLE)